Je l’avais pourtant écrit GROS de même sur le calendrier qui orne le frigo. À côté de la journée pélagogique de merveilleuse merveille. Fête de Martin. Souligné. 2 fois.
Et j’ai oublié. Zut de zut de zut de zut de triple idiote! Le pire, c’est que mon courriel soulignant son anniversaire était prêt, dans mes brouillons. Pour le remercier d’être mon ami et lui offrir une pensée toute spéciale pour cette année qui s’amorçe et qui s’annonce fertile en événements heureux.
Zut de zut de zut de zut de zut!!!!
En retard, les voeux, est-ce que ça compte? Même quand on a aucune excuse valable, si ce n’est que d’avoir eu les yeux dans le même trou tous les matins cette semaine? Et encore là, c’est pas une excuse…
Alors Martin, même en retard, doux bisous et mille pardons. Et merci de ton amitié si précieuse.
Psst, vous savez quoi ?
Moi, souvent, je préfère les voeux en retard.
D’abord, parce que toute la journée « sans retard », les voeux se bousculent souvent et l’attention qu’ils méritent n’est pas entière.
Ensuite, parce que la personne « en retard » en fait souvent un peu trop pour se le faire pardonner, héhé, et ça rend le geste d’autant plus émouvant qu’ils pleuvent, les compliments d’amitiés !
Finalement, parce qu’en retard, on sent que la fête se prolonge un peu, rienqu’un peu, avant de retourner au triste sort des 364 jours suivants !
Vive les retardataires, que je dis !
(Quoique vous êtes la seule retardataire préparée que je connaisse !!!)
…et… bonne fête, heu, Martin ! 🙂