Un certain malaise, pour ne pas dire un malaise certain

En forme pour une p’tite polémique? Here we go!

Déjà, hier, aux nouvelles, ça me chicotait. Là, de le voir dans ma grosse Presse du mercredi, ça recrée le même malaise. En pire.

Mme Harper en larmes sur la tombe de son grand-oncle mort pendant la guerre, au cimetière de Vimy, et son mari, notre Premier sinitre, qui n’a même pas appelé les proches de la petite famille décimée au Liban. Est-ce juste moi qui accroche? Je ne veux pas qualifier le chagrin de madame Harper, elle a légitimement le droit de pleurer le vieil oncle. Mais me semble que dans les circonstances, un peu de pudeur… Les « apparatchiks » de communications qui entourent le premier sinistre ont encore du chemin à faire….

 

3 réponses sur “Un certain malaise, pour ne pas dire un malaise certain”

  1. 100% d’accord. Je n’en revenais pas quand j’ai entendu que la famille éprouvée n’avait même pas eu un mot de condoléances du gouvernement canadien… En plus, me semble que notre gouvernement fait dur en matière de rapatriement…

  2. J’avais l’air d’une cinglée seule dans ma cuisine à répondre à l’animateur de radio qui disait la nouvelle; à lui crier mon indignation… Mais à quoi pouvais-je m’attendre d’autre du cow-boy du Nord et de son épouse…

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