Dure, dure, la levée du corps

Quel beau weekend! Des amis – non, n’insistez pas, j’ai juré de respecter l’anonymat des vedettes que nous fréquentons…- des enfants qui s’amusent dans la piscine jusqu’à avoir les lèvres bleues, de la bonne bouffe, du vin, du soleil mais pas de canicule…

On peut rien demander de plus, hein? Sauf que ça dure… et que les maringouins se trouvent d’autres sources alimentaires que nous!

Et comme disait l’un de nos invités, le San Pellegrino, c’est rough sur le système! Ben quoi, à la mi-quarantaire, on vit dangeureusement; on mélange sans même se soucier des effets secondaires, rosé/vin blanc/porto et eau minérale (ou misérable???). Surtout quand nos amis/invités (non j’ai dit! Je ne trahirai pas l’identité de ces aimables personnes!!!! Quoique monnayant un versement pré-autorisé de 5 easy payments… Nah! JamaisNever!) ont un bon 10 ans de moins que nous, faut faire semblant d’être capable de tenir la route.

Ca doit être pour cela que depuis mon arrivée au bureau, je tourne en rond, incapable de me concentrer sur quoi que ce soit. Et puis zut! Pour une fois, le contribuable en aura moins pour son fric, et moi je me remets tranquillement de ce dur weekend de plaisirs.

 

5 réponses sur “Dure, dure, la levée du corps”

  1. C’est pour toutes les raisons et plusieurs autres que maintenant je ne bois que du San Peligrino… ce qui me rappelle avoir eu la chance de croiser, un jour, et par hasard, la petite fille, l’une d’elles, issue de cette famille d’eau minérale. Je vous en parle pour vous montrer que c’est même pas plus drôle quand on sait qui on a croisé 😉

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