12 février, c’est quand la fin de l’année pour qu’on puisse souffler… les vacances de l’été bien trop loin mais bon sang, une mère qui s’essouffle on n’a jamais vu cela.
C’est vrai que 3 semaines de carnaval c’est long et que les artistes qui viennent de loin, y sont en vacances eux et ils sont en forme mais cela me m’a jamais épuisée à ce point là. Ok l’anniversaire de canard joli et 10 de ses copines à l’école du cirque, cela fatigue un tantinet (mais en passant pour ceux de Québec avec moussaillons, c’est une super activité!). Puis ah oui c’est vrai, je cherche une maison, visite, enlève les bottes, remets les bottes, visite ailleurs et on recommence… non non je ne suis pas difficile mais trouver la maison idéale pour que les enfants soient heureux ce n’est pas toujours simple. Ah oui, je souffle de peine et de misère car je change de boulot et je m’essouffle à essayer de fermer mes dossiers tout en respectant les sacros saints horaires de l’école, de la danse, du ski, du château de glace qui est en construction devant ma porte patio, de mon fils et de sa carte de valentin pour son amoureuse (et moi qui avais des doutes sur son orientation sexuelle lorsque je le voyais jouer à la poupée), du dentiste qui me pompe toujours autant d’argent et dont je suis tannée de voir la fraise, de l’ORL qui s’amuse à jouer avec son aspirateur dans mes sinus pour soi-disant que je respire mieux mais voilà, je suis à bout de souffle… ben oui quoi j’ai la grippe, cela arrive à tout le monde au moins une fois par année de manquer d’air pour respirer par le nez!