Bon, depuis le temps que vous me fréquenter, vous savez que je ne parle jamais politique. Ou si peu. Alors, pour un texte senti sur la St-Jean, c’est là qu’il faut aller. Pas ici.
Mais si je parlais politique, si je me laissais aller un brin, je vous dirais qu’on a pas fini d’explorer les dessous de Julie. Tiens, avoir l’imagination à peine fertile, je vous dirais qu’on pourrait faire des liens délirants: hier, une ex-consultante en immigration révélait à Gilles Proulx (je sais, mais des fois, Radio-Can, c’est platte bon!) que Julie a déjà été tenancière d’un établissement plus ou moins illicite, fréquenté par des politiciens et des avocats, qui y venaient pour « causer » avec des immigrantes entrées ici avec des visas de danseuses exotiques. C’est à l’abolition de ce programme par le gouvernement conservateur que Julie aurait eu le mandat d’infiltrer un ministre… C’est encore meilleur qu’un roman de Ludlum, non?
Et bien, comme je disais, être un brin imaginative, je vous dirais que le prochain épisode permettra de comprendre les liens entre Julie et le présumé terroriste Khawaja. On y apprendra que non, il n’a pas fréquenté de camp terroriste, il a fréquenté Julie…
« Gens du pays, c’est votre tour de vous laisser parler d’amour »…
Je suis arrivé à t’écrire ceci en cliquant sur « no comment » sous ton billet! Allez, merci des sourires, je retourne me demander si c’est pas le plan Paillé qui a … bon, allez!
C’est vrai que Radiocan c’est plate des fois, surtout l’été (Bugingo… pas capable), mais mieux vaut ne pas avoir d’oreille que d’écouter cet imbécile…
@Benoit: je sais, je sais. Mais j’avais un prof de musique qui nous disait que pour percevoir la beauté de la musique classique, il fallait s’être écorché l’oreille sur du heavy metal une couple de fois… Proulx, c’est mon Megadeth à moi! 🙂