Quoi de neuf chez-vous?

Bon. Maintenant que Clément l’a annoncé et que plusieurs blogues ont été réanimés (coucou CFD et Martine!), il me faudra bien revenir à une discipline d’écriture. Ce qui pourrait s’avérer plus facile à dire (ou plutôt à écrire!) qu’à faire…

Vous me connaissez. Je ne parle jamais politique. Ou si peu. Et 2017 ne fera pas exception. Notamment parce que j’ai une obligation de réserve. Et que mes opinions, voire mes prédictions de soirs de scotch, je le garde pour moi et de très proches amis. Et qu’on ne sait jamais qui viendra lire ici hein…

Je vais me garder également une petite gêne sur les exploits et finesses de Merveilleuse merveille. Notamment parce qu’elle n’a plus 5 ans, et qu’elle aussi sait lire et fouiller sur les zinterwebs.

Ma vie de couple? Elle va très bien et ne regarde que nous. Les gens heureux n’ont pas d’histoire, alors je vois mal ce que je pourrais vous raconter.

Mon xième régime? Les dernières séries écoutées? La météo??? La sacré météo???? Des recettes? De sport?

Et puis, quand on a pris l’habitude d’écrire 140 caractères ou un peu plus si on préfère Facebook, faire de longs textes (ie plus de 2 paragraphes!) faisant sens, c’est difficillllllllle, comme disait Paillasson.

Bref, on parle de quoi, en 2017, quand on veut bloguer?

J’ai lu quelque part qu’une bonne habitude se créer en 21 jours. Alors je me donne ce délai pour que bloguer redevienne une habitude. Entre-temps, je réfléchis.

À demain!



 

2 réponses sur “Quoi de neuf chez-vous?”

  1. Que voilà de bonnes nouvelles! — j’aime à voir comme une forme de résolution qui ne s’avoue qu’à demi-mot. 🙂

    De quoi parle-t-on en 2017 quand on veut bloguer? Je pense qu’il ne faut justement pas trop y réfléchir… il faut retrouver la candeur avec laquelle on bloguait il y a une dizaine d’année.

    À l’époque (suis-je en train de parler d’époque?) notre spontanéité s’exprimait aisément en quelques paragraphes… alors qu’aujourd’hui, Facebook nous a réduit ça à quelques lignes. On y a tous perdu je pense (sauf Facebook, évidemment!, qui aime mieux qu’on écrive souvent trois ou quatre lignes qu’une fois quelques paragraphes… parce que ça lui en apprend beaucoup plus sur nous!).

    Ça fait qu’on parle de quoi? De ce qui nous passe dans la tête… et qui reste une fois qu’on a éliminé le sujets qu’on ne souhaite pas aborder publiquement. Mais il en reste toujours.

    Réfléchir publiquement aussi, c’est agréable. C’est même une forme de participation démocratique qui me semble encore plus pertinente (et nécessaire) qu’il y a dix ans.

    Faire simplement référence à un texte qu’on a lu (en ligne, ou pas d’ailleurs!) en exprimant les questions que la lecture nous amène — comme autant d’invitations à réfléchir ensemble et discuter.

    Réfléchir publiquement ce n’est pas faire de la politique… ou si peu!

    Ou tiens, encore plus simple… juste mentionner un texte qu’on a lu quelque part et dire pourquoi on l’a aimé.

    Ou présenter en quelques mots les sources d’informations qu’on apprécient le plus en décrivant pourquoi on les trouves inspirants — par delà chacun des sujets abordés (et qui pourraient nous amené sur le terrain de la politique… ce que tu ne feras pas… ou si peu…)

    Je suis sûr que tu vas trouver!

    (tu vois mes doigts croisés?)

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