Je pourrais réécrire presque mot à mot ce billet. Sauf que cette fois, c’est moi qui part avec elle, en voiture, pour la laisser à son parrain qui l’amènera chez grand-maman. Elle est pas partie que je m’ennuie déjà.
En même temps, j’ai hâte de retrouver un peu de temps avec Mammouth, et avec quelques amis que nous n’avons jamais le temps de voir, pris dans nos « obligations familiales ».
À suivre…
Comme je te comprends…
J’ai à chaque fois le coeur à l’envers quand l’une d’elles part…
Pourtant je reconnais que c’est nécessaire… de s’éloigner un peu…
Ca les enlève de nos griffes protectrices… l’angoisse arrive alors… comme si personne d’autre n’était capable de remplir ce rôle de bouclier…
C’est maternel, viscéral…
Qu’est-ce que ça va être quand elles partiront vraiment….
soupir…
bisous
Véro