Les chroniques du patio Là où fleurent bon la résine de synthèse et le p'tit rosé estival

8 octobre 2006

Au royaume de la cucurbitacée

Filed under: tranches de vie — Isabelle @ 18:00

Il fallait les voir les quarantenaires cet après-midi entourées de leur marmaille en train de ramasser des courges dans un champ plus grand que le stade olympique. Pas trop de larmes, pas trop de cris, beaucoup de terre et des rires. Pas pire les barouettes, bien pleines. C’est toutes fières, le triceps gonflé qu’elles pensaient en choeur que Josée Lavigueur n’avaient qu’a aller se rhabiller lorsqu’elles l’ont vue : la pitoune de 20 ans aux seins surélevés accompagnée de ses 2 gorilles qui se penchaient pour ramasser les courges au gré des désirs de la mistinguette. ok souvent Monsieur Univers n’a pas de tête alors Marie a pensé a Mammouth et je me suis dit que finalement ils sont bien loin mes 20 ans!

6 Comments »

  1. La pitoune de 20 ans n’a qu’à bien se tenir les seins surélevés, vu qu’à 40 ans ils se retrouveront dans la brouette avec les courges, si j’ai bien compris le post précédent… 😉

    Commentaire by Mère indigne — 9 octobre 2006 @ 13:57

  2. Mère indigne, je n’ai qu’un commentaire sur votre commentaire:

    PFFFFFFFFFFFRRRRRRRRRR! Un jour, vous aurez 40 ans!

    Commentaire by marie-josé — 9 octobre 2006 @ 15:30

  3. Oui mais moi, ils ne risquent pas de dépasser la cage thoracique. Pas parce que je résiste à l’usure du temps, mais juste parce qu’y a pas assez de matériel…!

    Commentaire by Mère indigne — 10 octobre 2006 @ 09:03

  4. Hum… et le principe de la peau de banane, vous connaissez, mère indigne…?

    Commentaire by marie-josé — 10 octobre 2006 @ 09:28

  5. Veux pas l’saouère, pis veux pas l’wouère!

    Commentaire by Mère indigne — 10 octobre 2006 @ 13:48

  6. Nous récoltons habituellement nos tours de rei… euh… nos cucurbitacées au Centre d’interprétation de la courge, mais cette année, nous avons fait changement et visité la Courgerie, à Ste-Élisabeth. C’était dimanche pour nous aussi… mais pas au même endroit, je présume (enfin, j’espère: tu ne me décrirais pas comme une pitoune, ni mes amours comme des gorilles, hein?)

    Commentaire by Martine la banlieusarde — 13 octobre 2006 @ 06:22

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