J’ai horreur des partys de bureaux. Prendre un verre en faisant semblant de vous intéresser à vos collègues, ça ne me branche pas du tout. Bon, pour être honnête, sur le tas, y’en a toujours 2 ou 4 qui sont intéressants – mon ami gay, entre autres, avec qui je partage des fous rires et des courriels pas toujours politically correct. Mais si jamais l’envie de développer des relations personnelles extra-bureau me prenait, c’est pas dans le cadre du party de Nowel que ça se passerait. Pour tout dire, je me suis tapée 15 minutes du cocktail *passage obligé à cause du sinistre*, et j’en ai eu bien assez.
Par contre, y’a des partys virtuels qui méritent qu’on s’y attarde. Prenez exemple sur mère indigne, ou depuis hier, le délire est à son meilleur. Le lien avec Nowel? Imaginez tout ce beau monde en chemise/cravate ou tailleur/talons aiguilles, debout, tentant d’équilibrer la petite assiette de bouchées et le verre de vin, se lançant ces répliques: ce genre de party, je serais la première à faire la file pour y participer!